Isolation ! De quoi parle-t-on?

Bien que l’isolation soit invisible, celle-ci garantit le confort acoustique et thermique à l’intérieure du bâtiment. Un logement bien isolé offre une plus value significatif à la valeur d’un biens-immobilier. De plus, elle est essentielle pour réduire la consommation énergétique d’un bâtiment.

L’isolation périphérique est une étapes essentielle pour diminuer la consommation énergétique d’un bâtiment.

Pour que l’isolation thermique d’un bâtiment soit garantit, il est indispensable que l’enveloppe du bâtiment soit parfaitement isolé. Pour éviter des pertes énergétiques, toute les parties du bâtiments en contact avec l’extérieur doivent être recouverte d’une isolation thermique. L’isolation des façades, de la toiture, du plancher ainsi que des portes et fenêtres sont indispensable pour la réduction des ponts thermiques. 

L’Isolation périphérique a pour but d’isoler thermiquement les façades d’un immeuble par l’extérieure. L’isolation des façades est généralement réaliser en polystyrène expansé. Grâce à sa forte résistances à l’humidité et à ses bonnes propriétés isolante, le polystyrènes convient parfaitement pour l’isolation périphérique d’un immeuble. Elle est généralement collé sur la façade ou encore soutenu  pars une ossature métallique. Plus l’épaisseur de l’isolation sera conséquente, mieux l’immeuble sera thermiquement isoler. Par la suite, une finition viendra recouvrir l’ensemble de l’isolation, qui déterminera l’esthétique du bâtiment.

L’isolation d’une toiture est tout aussi indispensable que l’isolation périphérique pour réduire sa consommation énergétique et amélioré le confort des occupants. Etant donné que la chaleur monte, l’isolation de la toiture devient une priorité. On estime à plus d’un quart, les pertes de chaleurs évacué par la toiture. Lorsque celle-ci est habitable, l’isolation sera dissimulé, dans un premier temp derrière un pare vapeur et par la suite derrière un lambris ou encore un placo.

La laine de verre est l’isolant le plus utilisé pour isoler une toiture. Sa bonne résistances thermique et son faible prix, le rends particulièrement concurrentiels par rapport aux isolant d’origines végétale ou animale. Lorsque les combles sont perdus, surface non occupé dans les combles. Des alternatives plus économique sont proposées aux propriétaires. La solution réside à recouvrir la surface, non habitable, de flocon de laine de verre par une technique de soufflage.

Bien souvent négligée, la déperdition de chaleur par le sol est  fréquente dans les immeubles en Suisse romande. On estime à plus de 90%, les immeubles non isolé par le sol. Malgré que la déperdition de chaleur soit inférieure à celle de la façade périphérique ou que par la toiture. Elle mérite tout de même d’être réduite. Afin de couper le froid provenant du sol on parle d’isolation thermique sous radié, celle-ci peut peut être réaliser à l’aide de verre cellulaire pour les nouvelles construction. En plus d’être isolant et de former une barrière anticapillaire. Il a la particularité d’être résistant au gel. Léger, il offre pourtant une haute résistance à la compression. L’isolant, principalement constituer de verres recycler,  sera déversé sous le radier et remonter le long des murs qui se trouve sous terre. On obtiendra ainsi une parfaite isolation du sol d’un immeuble. La suppression de ce pont thermique permettra une réduction significative de la consommation d’énergie.

Pour garantir une parfaite isolation de l’enveloppe du bâtiment et réduire les pertes de chaleur, il convient que les fenêtres et portes soient entièrement étanche. Hormis le nombre et l’épaisseur du verre, il est essentiel qu’une fenêtre soit étanche pour diminuer l’évacuation de la chaleur produite. Pour remédier aux pertes de chaleur, les contours des fenêtres doivent être entouré d’un joint étanche. Qu’il soit en mousse en silicone, ou en caoutchouc. Un joint correctement posé  réduira significativement les pertes de chaleurs d’un bâtiments. De plus, il  est un élément indispensable pou prévenir contre les infiltrations d’humidité.  

Quelle isolation choisir pour une façade périphérique?  Le matériau le plus utilisé et le polystyrène expansé. Toutefois, il en existe une multitude. 

Quelle épaisseur pour l’isolation de la façade? L’épaisseur de l’isolation d’un mur, dépendra de la résistance thermique du matériau utilisé. Cette valeur prend en compte sa conductivité et son épaisseur. La qualité d’un matériaux dépendra de sa résistance aux flux de chaleur. Le lambda, exprimé en  W/(m.k). Plus le lambda est petit, moins le matériau laisse perdre la chaleur et meilleure sera sa qualité. Pour autant, l’épaisseur de l’isolation reste le facteur déterminant de la qualité d’une façade, celle-ci ne doit pas être inférieure à 12 cm.  


Quelle est la différence entre la laine de pierre et la laine de verre? La laine de pierre et la laine de verre ont des caractéristiques similaire. Résistantes au feu, les deux peuvent être utilisées pour l’isolation thermique et acoustique d’un bâtiment. Grâce à leur longue durée de vie, leurs propriétés leurs donnent un avantage significative dans le choix de l’isolation d’une toiture. Toutefois malgré son prix légèrement supérieur, la laine de pierre à l’avantage d’avoir un meilleur rendement l’été et d’être plus résistant aux rongeurs ainsi qu’aux insectes. 

Comment est fabriqué la laine de roche? La laine de roche est élaboré à partir de roche volcanique. Elle est chauffé dans un four pour être convertit en lave. Par la suite, la roche en fusion, devenu liquide, est centrifugée pour être transformé en fibre. Après être enrobée de résine et d’huile d’imprégnation, la fibre est polymérisé pour être rendu hydrophobe. La laine de roche est ensuite conditionné sous forme rouleaux de panneaux rigides ou de flocons.   

Comment est fabriqué la laine de verre? La laine de roche est élaboré à partir sable et de verre recycler, le procédé de fabrication est similaire à celui de la laine de roche. Un mélange de verre et de sable est chauffé à haute température pour ensuite être centrifugé et refroidit. Il sera par la suite mélanger à un liant. La dernière étapes consiste à la polymérisation de la fibre, pour la rendre hydrophobe.